La gestion responsable et maîtrisée des ateliers et des procédés de transformation

Les fumeurs français s’engagent à :

  • Améliorer en permanence leurs procédés de transformation en s’appuyant notamment sur la Commission technique professionnelle (CITPPM -Confédération des Industries de Traitement des Produits de la Pêche Maritime et de l’Aquaculture) qu’ils ont volontairement mise en place. Ils appliquent des mesures visant notamment à réduire les consommations des ateliers par unité produite (eau, énergie…) ou gérer et valoriser les coproduits, ainsi que réduire le gaspillage des matières.
  • La transformation et le fumage sont réalisés en France au sein de sites sous contrôle environnemental.

Des engagements supplémentaires

Les entreprises ont volontairement créé la CITPPM (Confédération des Industries de Traitement des Produits de la Pêche Maritime et de l’Aquaculture), outil collectif de progrès technologique afin de s’inscrire dans un processus d’amélioration continue.

Les entreprises françaises effectuent le fumage des saumons avec des fibres de bois obtenues à partir de matières premières naturellement renouvelables. Le bois utilisé est spécifiquement adapté au fumage, excluant notamment les bois traités ou les bois de résineux, conformément aux recommandations du Codex Alimentarius et au Guide des Bonnes Pratiques et d’Hygiène pour les
poissons fumés et/ou salés et/ou marinés.

De plus, chaque atelier de fumage français applique une surveillance fine de la qualité et de la sécurité des saumons fumés distribués.

Certaines normes supplémentaires peuvent également être appliquées au sein des ateliers pour aller encore plus loin, comme :
> ISO 14 001 pour la préservation de l’environnement
> ISO 50 001 pour la gestion de l’énergie
> ISO 26000 pour la responsabilité sociétale

Quelques exemples concrets

> Certains fumeurs français utilisent un bois de fumage certifié FSC ou PEFC, garantissant une gestion durable des forêts.
> Pour garantir la sécurité de leurs produits, les fumeurs français participent à la base de données collective sur la qualité sanitaire des produits mise en place par la CITPPM (Confédération des Industries de Traitement des Produits de la Pêche Maritime et de l’Aquaculture) qui collecte les résultats d’autocontrôle des entreprises adhérentes. Cette base permet un suivi régulier de la qualité sanitaire des produits.